Virginie continua alors son récit, évoquant cette fois sa rencontre avec Arthur :
Malgré toutes mes tentatives, Arthur n’arrivait pas à satisfaire mes attentes en matière d’intimité. Il se montrait, en vérité, plutôt maladroit, incapable de réveiller en moi ce que je cherchais. Peu à peu, un doute s’était insinué en moi, une question persistante, silencieuse mais constante : avais-je encore la capacité de séduire ?
Cette pensée m’assaillait, m’accompagnant dans ses moments de solitude, où je devenais de plus en plus insupportable
Un jour, alors qu’Arthur était chez un ami, je pris une décision, presque instinctive, un geste venu d’une audace discrète mais nécessaire. Il m’était vital de me reconnecter à mon propre désir, de retrouver cette part de moi-même que j’avais laissée de côté.
Je me glissai dans les rues animées de la ville de Lyon, guidée par une énergie nouvelle. Mon objectif était simple : me redécouvrir, renouer avec cette féminité que j’avais mise en veille. Mon cœur battait un peu plus vite lorsque je pénétrai dans la boutique de lingerie Pain de Sucre (46 rue de Brest, dans le 2ème arrdt). L’atmosphère feutrée du lieu, avec ses lumières tamisées et ses étoffes délicates, semblait invitée à la douceur, à l’intimité.
Je déambulais entre les rayons, effleurant du bout des doigts des tissus soyeux, des dentelles fines. Puis, mon regard s’arrêta sur un ensemble élégant, audacieux et délicat : un soutien-gorge ajouré, accompagné d’une culotte suggestive, juste assez révélatrice pour éveiller l’imaginaire.
En choisissant cet ensemble, je ne faisais pas qu’acquérir un simple vêtement. C’était un acte symbolique, une promesse silencieuse de retrouver la femme que j’étais, celle qui savait se sentir belle, puissante, désirable.
Avant de me rendre aux cabines d’essayage, je laissai mon regard vagabonder autour de moi, observant les allées et venues des clients. Mon attention fut captée par un couple d’un certain âge, manifestement complices, se dirigeant lentement vers les cabines. Une idée, à la fois spontanée et audacieuse, germa en moi. Je décidai de les suivre, poussée par une curiosité nouvelle, une envie de tester mes limites, comme si une force inconsciente me guidait.
Je choisis une cabine en face de la leur et, avec une intention presque palpable, laissai le rideau légèrement entrouvert. Une ouverture discrète, mais suffisante pour permettre un regard furtif. L’excitation mêlée à la nervosité me fit légèrement trembler, mais j’étais captivée par l’instant. Lentement, je me dévêtis, chaque mouvement mesuré, comme une danse silencieuse et maîtrisée. Le miroir bien placé me permettait d’apercevoir son regard furtif. L’homme, se tenant près de la cabine de sa compagne, jetait des coups d’œil discrets mais évidents. Son regard, un peu gêné, trahissait néanmoins une curiosité croissante.
Un étrange sentiment de puissance, teinté de sensualité, m’envahit. Chaque geste, chaque mouvement semblait être une expression silencieuse de mes désirs, une exploration personnelle qui ravivait en moi quelque chose de profondément ancré.
Lorsque mes vêtements furent totalement retirés, je me retrouvai nue face au miroir, un instant suspendu dans le temps. Puis, lentement, je me retournai, croisant son regard à travers l’étroite ouverture de la cabine.
Dans ses yeux brillait une lueur nouvelle, une clarté presque imperceptible. Il ne chercha plus à masquer son regard, le laissant s’attarder sur moi, fasciné. Son regard, curieux et intense, parcourut chaque courbe de mon corps, et je sentis une chaleur douce m’envahir. C’était un instant suspendu, un échange silencieux qui allait au-delà des mots, un moment où je retrouvai ma confiance, ce pouvoir discret de séduire.

L’homme me sourit alors, un sourire discret mais chargé de tentation. Il ne put s’empêcher de poser un dernier regard sur moi, gravant dans sa mémoire l’image de ce corps qu’il venait de découvrir. Mais soudain, la voix douce de sa compagne le ramena à la réalité, brisant l’instant avec une tendresse teintée d’amertume. Gêné, il détourna le regard et s’éloigna, mais pas sans m’offrir un dernier coup d’œil furtif, empli de regret et d’admiration.
Ce moment, aussi fugace et silencieux fût-il, réveilla en moi une étincelle. Une flamme que je croyais éteinte depuis longtemps se ralluma, nourrie par cette brève mais intense connexion. Ce simple échange de regards, cette communion non verbale, me rappela que j’avais encore cette capacité à éveiller le désir, à plaire. Un frisson de plaisir me parcourut : celui de me sentir belle et désirée à nouveau, une promesse silencieuse faite à moi-même.
Après ce récit, Virginie se laissa envahir par une pause, les pensées flottant dans l’air, suspendues comme si le temps lui-même avait fait une halte. Les images et les sensations de ce moment persistaient en elle, une vague chaude et insaisissable qui ne cessait de t’envahir.
— Tu as pris beaucoup de plaisir à t’exhiber ce jour-là, n’est-ce pas ? dis-je, une pointe de provocation dans la voix.
— Énormément, répondit-elle, son regard s’illuminant.
Elle poursuit, la voix chargée de désir :
Je ressentais cette envie irrésistible en rentrant chez ses parents, ce désir brûlant de vivre un instant intime avec Arthur. Le soir venu, alors qu’il nageait dans la piscine, je n’ai pas pu résister. Avec une audace douce, j’ai retiré mon maillot, espérant qu’il saisisse mon invitation. Mais il m’a répondu, presque à regret, que ce n’était pas possible : son frère était dans la chambre, et nous risquions d’être surpris à tout moment.
Malgré son avertissement, mon désir ne s’est pas dissipé. Il persistait, inaltéré, s’amplifiant même à chaque pas que je faisais vers lui. Alors qu’il tournait le dos à la maison, je remarquai que son frère nous observait discrètement. Un léger frisson me parcourut, mais je ne dis rien, me contentant de laisser cette sensation m’envahir sans résistance. Son regard, furtif mais insistant, intensifiait chaque pensée, chaque envie qui s’éveillait en moi.
Malheureusement, toutefois… Arthur bandait mou.
Alors, je sortis de l’eau, complètement nue, offrant à son frère la vue qu’il semblait déjà chercher.

Je pouvais le voir, et je sus qu’il se branlait en m’observant. Je pris alors tout mon temps pour rejoindre la maison, marchant lentement afin qu’il puisse pleinement apprécier la vue. Chaque pas me sembla calculé, une invitation silencieuse. Mes seins se balançaient doucement, réagissant au rythme de ma démarche, chaque mouvement de mon corps se dessinant avec une fluidité qui semblait suspendre l’air autour de moi. Je sentis la douceur de ma peau, la tension légère dans mes muscles, et je fus consciente de chaque regard posé sur moi, chaque geste accentuant la sensualité du moment.
Alors que je montai les marches, je passai devant la porte de son frère. J’hésitai une seconde avant de saisir la poignée et de l’ouvrir.
En entrant, je le trouvai toujours accoudé à la fenêtre, la queue en main.
Sans un mot, je m’approchai de lui. Il me regarda sans rien dire, me fixant.
— Au moins toi tu bandes en me voyant.
Je pris place devant lui, lui offrant mon intimité. Arthur était toujours la piscine, je le regardai alors que son frère me baisa. J’avais besoin de sentir une queue en moi après cette journée.
A un moment donné, il regarda dans ma direction mais en dit rien, est-ce qu’il savait que son frère me baisait. Pour augmenter mon désir, je passai mes doigts sur mon clitoris, toujours en regardant Arthur. Je voulais lui faire comprendre que son frère s’occupa de moi.
Après ce moment de plaisir, je décidai de retourner dans la piscine, toujours nue. Je sentais le sperme de son frère me couler sur les cuisses. Arthur me regarda :
— Je me demande comment mon frère a pu te baiser.
Il sorti de l’eau et partit.
Je restai un peu dans la piscine pour profiter de ma soirée. Je me sentais bien malgré Arthur.
Je sorti et je décidai de rentrer chez moi. En allant chercher mes vêtements, je tombai sur les parents d’Arthur, et sans aucune gêne, je les saluais et passais devant eux. Je sentis le regard de son père sur mon corps nu
Steve regarda Virginie :
— Pourquoi es-tu restée si longtemps avec lui, malgré ton insatisfaction ? Surtout quand tu savais qu’il n’était clairement pas à la hauteur niveau sexe.
Virginie baissa les yeux un instant, puis répondit timidement, presque à voix basse :
— Lors d’une réunion de famille, où tu étais présent… j’ai secrètement commencé à tomber amoureuse de toi.
Ses mots flottaient dans l’air, et il ressentit une vague d’émotion en réalisant ce qu’elle venait d’avouer.
— Ça veut dire que, quand tu te faisais plaisir, tu pensais à moi ? Demanda-t-il à Virginie, un sourire fier se dessinant sur son visage alors qu’il la regarda intensément.
Elle hocha timidement la tête, un léger sourire aux lèvres, comme si elle venait de révéler un secret bien gardé.
— Je peux, à mon tour, te poser une question un peu indiscrète ?
Elle me répondit d’un simple « oui », une lueur de curiosité dans les yeux.
Steve marqua une petite pause, hésitant un instant avant de poursuivre :
— J’aimerais savoir ce que tu as ressenti quand je t’ai conduite à l’hôpital ce jour-là, quand tu as eu ce problème au cœur.
Son regard devint plus sérieux, lui rappelant ce moment de fragilité entre eux.
— Pour te dire la vérité, je n’ai jamais demandé à Arthur de m’accompagner ce jour-là, commença-t-elle, son regard devenant plus intense. J’ai voulu que ce soit toi, parce que j’avais envie de prendre un risque avec toi, de pousser notre relation plus loin. Peut-être que nous finirions par être ensemble…
Elle marqua une pause, mesurant l’impact de ses paroles avant de continuer :
— C’était un risque, je le savais bien, surtout parce que je n’avais aucune certitude que tu ressentais la même chose que moi. Mais ce jour-là, je me suis dit que c’était l’occasion parfaite de tenter, de voir si quelque chose pouvait naître entre nous.
— Et donc, le soutien-gorge dans ton sac, tu l’as laissé visible exprès ?
Elle me regarda, un sourire malicieux aux lèvres, et répondit doucement :
— Oui, je l’ai fait exprès. J’ai voulu capter ton attention, te donner un signe subtil, mais suffisamment évident pour que tu comprennes mes intentions. Je savais que tu allais le remarquer, et c’était une façon de te tester, de voir comment tu réagirais. Je voulais que tu saches, sans que j’aie à le dire ouvertement, que j’étais prête à aller plus loin, à franchir cette limite.
Son regard brillait d’un mélange de nervosité et d’excitation, révélant que ce geste avait été soigneusement calculé pour créer une tension entre nous.
— C’est sûr, lui dis-je en souriant légèrement. En voyant ce soutien-gorge dépasser de ton sac, je n’ai pas pu m’empêcher d’imaginer plein de choses pendant que je te conduisais à l’hôpital. Mon esprit s’emballait à chaque coup d’œil furtif, des scénarios se formaient sans que je puisse les contrôler. Ce détail avait éveillé une curiosité et un désir que je ne m’étais pas avoué jusque-là.
— C’était impossible de ne pas penser à toi autrement, et je me demandais si c’était intentionnel… Maintenant, je sais que c’était bien le cas. Tu n’as pas été gênée, alors, de te retrouver avec la poitrine visible lors de tes examens ?
Elle sourit légèrement avant de répondre :
— J’avoue que j’étais un peu gênée, surtout qu’il y avait d’autres personnes dans la pièce, du personnel médical… Mais ce qui m’a réellement troublée, c’est ton regard. Je te voyais, en coin, et je sentais cette envie, ce désir, dans ta façon de m’observer. Ça m’a donné une satisfaction énorme, le sentiment d’être vue et désirée d’une manière que je n’avais jamais ressentie.
Elle marqua une pause, comme si elle revivait la scène dans son esprit.
— À ce moment-là, malgré l’environnement médical, je commençai à me sentir excitée. Petit à petit, je sentis mon corps réagir… je commençai à mouiller. C’était inattendu, mais je ne pus m’empêcher de laisser ce désir grandir en moi.

— Je suppose que c’est pour cette raison que tu n’as pas voulu mettre de blouse durant le test à l’effort, n’est-ce pas ? Tu voulais simplement que je profite de cette magnifique vue, demanda Steve.
Virginie acquiesça avec un sourire complice.
— Oui, c’est exactement ça, avoua-t-elle, les yeux pétillants. Plus tu me regardais, plus mon désir grandissait. J’aimais l’idée que tu puisses admirer ma poitrine, sans rien pour la cacher. C’était comme si chaque regard que tu posais sur moi éveillait une flamme en moi, rendant le moment encore plus intense. C’était un mélange d’excitation et de vulnérabilité, et je ne voulais pas que cette occasion passe inaperçue.
— Je dois bien t’avouer que si le médecin n’avait pas été là, je t’aurais sauté dessus, lança Steve en riant, amusé par l’idée.
L’image de ce moment volé entre eux, sans aucune interruption, la fit sourire. Elle éclata de rire, son regard brillant de malice.
— Vraiment ? C’est bon à savoir !
Chaque éclat de rire partagé ne faisait qu’intensifier cette connexion unique entre eux, ajoutant une couche de désir à l’atmosphère déjà chargée.
— En tout cas, je suis vraiment heureux d’avoir franchi le pas ce jour-là, reprit Steve. Je ne regrette en rien ce qui s’est passé entre nous. Chaque moment partagé a renforcé notre lien et m’a permis de découvrir une facette de notre relation que je n’avais jamais envisagée auparavant. C’était un tournant, et je savais que cela marquerait le début de quelque chose de spécial entre nous.
— Tu avais des envies particulières avec Arthur ? Qu’est-ce que tu souhaitais vraiment ? demanda-t-il, intrigué.
Virginie prit un instant avant de répondre, sa voix teintée d’une nostalgie désabusée.
— Au début, j’ai essayé de provoquer quelque chose en lui… Je me souviens d’une fois où je suis sortie de la salle de bain, complètement nue, frémissante d’envie. J’espérais qu’il me prenne, mais pas comme d’habitude… Cette nuit-là, je voulais qu’il me prenne par mon cul.
Steve plongea son regard dans celui de Virginie, captivé par sa confession.
— Et comment a-t-il réagi ?
Un soupir glissa entre ses lèvres, un mélange de frustration et d’amusement amer.
— Il a simplement dit que ce n’était pas son truc… puis il a repris son jeu, comme si ma présence n’avait aucune importance. J’étais là, nue, brûlante de désir, et lui… il n’a même pas levé les yeux vers moi.
Elle baissa les yeux un instant avant d’esquisser un sourire, à la fois timide et chargé d’une certaine malice.
— Alors, je suis retournée dans la salle de bain… et j’ai pris soin de moi, seule, en pensant à toi.
Steve arqua un sourcil, intrigué.
— Si je comprends bien… tu n’as jamais été prise de cette façon ?
Elle hocha la tête, le regard pétillant d’une lueur à la fois timide et impatiente.
— Non, jamais…
Un silence chargé d’électricité s’installa entre eux. L’air lui-même semblait crépiter sous la tension qui les enserrait. Lentement, Steve s’approcha de Virginie, ses doigts effleurant sa peau avec une douceur calculée. Chaque frisson qu’il percevait sous ses caresses ne faisait qu’aiguiser son désir.
— Alors, laisse-moi te montrer ce que c’est…
Il voulait que ce moment soit unique, que chaque sensation s’imprime en elle, qu’aucun doute ne subsiste sur ce qu’il pouvait lui apporter. Il voulait l’initier à ce plaisir inconnu, l’entraîner au-delà de tout ce qu’elle avait imaginé.
Steve l’observa se dévêtir lentement, savourant chaque mouvement, chaque frémissement de sa peau sous son regard brûlant. L’excitation montait, vibrante, palpable. Ses mains parcouraient son corps, explorant chaque courbe avec une patience exquise, attisant son désir, la préparant à ce moment qu’ils allaient partager.
— Retourne-toi… murmura-t-il à son oreille, sa voix empreinte d’une promesse ardente.
Un frisson traversa l’échine de Virginie tandis qu’elle obéissait, s’offrant à lui avec une confiance absolue. Ses caresses s’attardèrent, lentes, envoûtantes, éveillant en elle des sensations nouvelles, des frissons inédits. Chaque geste était calculé pour l’emmener plus loin, pour graver en elle ce moment d’une intensité rare.
Lorsque Steve la prit enfin, ce fut avec une douceur maîtrisée, savourant chaque réaction de son corps, chaque soupir échappé de ses lèvres. Le plaisir montait, fulgurant, leurs corps s’accordaient dans une danse sensuelle et hypnotique.
Virginie laissa un gémissement s’échapper, et Steve sut qu’elle s’abandonnait complètement à lui. L’extase les happa, les entraînant dans une vague brûlante et délicieuse, marquant à jamais ce moment comme une exploration inoubliable de leurs désirs les plus profonds.
Dans l’après-coup, leurs corps encore tremblants, Steve attira Virginie contre lui, glissant ses doigts sur sa peau satinée. Leurs souffles s’apaisaient, mais cette connexion entre eux, cette énergie enivrante, restait intacte.
— Alors… souffla-t-il, un sourire en coin. Toujours des regrets ?
Virginie rit doucement, nichant son visage contre lui.
— Aucun. Absolument aucun.
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